ailleurs miliciens se coliquent, chassent bougnoules d’encule par les crépus, par les convulsives saccadent des lambeaux SOS, des tessons de chair à l’arrière des copules mais nus, mais latrinent en silence la corne tapie dans les mauves, dans les divagues ce matin les pendus de la fente se scier les tempes avant l’exécution, les pendus pendus, les pendus autour et d’embrasent les tignasses

capitaines strangulent à vide le sinistre d’atroce, piègent les sectionnes à la steppe ardente, capitaines affrontent un pire canarde à l’aorte, au plexus celle nucléaire ; capitaines borgnent les troupes dans la funèbre, borgnent et se merdent les muqueuses par avril, chialent de la dévore, d’un broute s’enfoutrent les ergots, les aigres poplités de l’empeste, section fièvre ;

et qu’un v v et qu’un vertige, qu’un vertige vrille, qu’un rote rance pourtant chicot s’astique le crispe, s’écume les ulcères à la dynamite, la rate, l’arête à peine hernie du palpe ; capitaines boucanent plein les roustons l’hostie, se grattent la radioactive, s’épluchent l’aphteuse gargouille des ogives, les croûtes assez lèpres en suffocation et tousses, en trombe d’éructe les ganglions