où il faut ou s’expire par les trous de mamelles, de potirons mêlés ; hélant, reptilant sa fourrure emmurée vivre à l’intérieur de membrane la plus flagelle, la plus brinqueballe sourde, la plus bidet du cul, au rythme des herbes, des épaves chaudes, au moindre sursaute se répand en une traînée de dents et lape sur la peau qui urine ses palmes, ses morsures de mouille brûlées des deux bouts

et maintenant, et maintenant, et maintenant très bas de mercure urticant l’occlusion lie, lie, lie la patate, lie l’ortie, fragmente le fuyard assoupi, sa queue dans la gueule leu leu la gueule d’aujourd’hui, tête, poutre au pire instant de l’écorce s’infecte le profond, le carnage de rampe, se moche à coups de pioche la tronche, se glue la p’tite moma par les synapses, s’épine le frousse à son pipi dessus, à son larve d’instinct la balle

s’étron par tous les trous de l’acharne, se viscère au fond du crapule, rampe, rampe et presque péroné rompt les articules, carcasse les ronces, les enfouisses de palpe, les moulues, les humides à la crotte fragile, à la crotte crotte, rampe le museau, rampe le cortex à bout de branque et se partouze les silex et se fracture le déchire ; sentinelle au pelage d’œdème parmi les kérosènes