Mandibules dévoreuses des charmes obscènes,
La thyroïde me démange
Et mes mains, extérieures à ses plaintes ne suffisent pas.
Poursuivant un essaim d’abeilles
Jusqu’en ton fin fonds de gorge en putréfaction,
Tu te désagrèges
Et de là-haut j’aperçois les flammes ardentes de l’éternité ;
Elles dévoilent des ressources insoupçonnées
Pour brûler ce qui restait de bave
essentiellement verdâtre.
Marche bouche béante et dévore ce souffle
Abandonné par quelque sauvé
Ne connaissant plus la valeur d’un effroi,
Ne sachant pas encore ce que lui réserve sa dépravation.
Assouvis tes désirs de soif en happant foutre à volonté
J’y suis, j’y reste.

  

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