Dossier Messier

 

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QUAND LE PPA
LÉCHAIT MESSIER

Commentant l’éviction et la ruine de Jean-Marie Messier, les journalistes du parti de la presse et de l’argent (PPA) ont ironisé sur la chute pitoyable de celui qu’ils révéraient quelques mois plus tôt comme le « maître du monde ». Le PDG de Vivendi comptait alors au nombre des plus généreux annonceurs publicitaires. Défait, Messier ne rime plus avec publicité ni avec partenariat financier.

Au milieu des années 90, les plumeaux du PPA avaient réservé un sort analogue à Bernard Tapie. Tour à tour, Serge July, Philippe Tesson, Philippe Labro, Jean Boissonnat, Anne Sinclair ou Jacques Séguéla avaient parrainé « Ambitions » (TF1, 1986), l’émission de propagande patronale animée par Tapie et son larbin grimaçant Jean-Louis Borloo. Plus tard, la journaille piétinerait l’homme d’affaire déchu.

Lécher les puissants en palpant les euros ; lyncher les perdants et jouer les héros, ainsi pétarade le moteur à quatre temps du Parti de la presse et de l’argent.

Le dossier qui suit représente une fraction infime de la documentation de PLPL sur les médias qui mentent, les patrons qui plastronnent et la gauche qui capitule. L’essentiel de nos informations est en effet réservé aux milliers d’abonnés de PLPL. À ce jour (juillet 2002) notre journal a publié dix numéros, tous disponibles à l’exception du numéro zéro, épuisé, comme le seront bientôt les numéros 1, 4 et 5.

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QUAND LE PPA LÉCHAIT MESSIER
(
© PLPL)

Le culte Vivendi
Messier arrosait tous les médias
Messier caressait Ramina…
mais n’oubliait pas que le PDG du Monde est un fat
Messier flattait le PPA en s’achetant un renégat
Au service de Messier, Orsenna succéda à Semprun
Messier régentait l’art lyrique
Messier faisait écrire son livre par une journaliste du Nouvel observateur...
mais aujourd'hui Julliard évoque la « servilité des médias »
BHL défendait Semprun, quand ce dernier servait Messier
BHL a adoré Messier
Pinault invitait Messier au mariage de son fiston
Messier était l’« homme de l’année de Stratégies »
Le Monde a léché Messier, comme tout le monde
Libération a aussi salué Messier, l’« enfant modèle », le « sauveur »
Le Nouvel Observateur et L’Evénement du Jeudi léchaient eux aussi Messier
Le Point, Le Nouvel Economiste, L’Express et Europe 1 : tous ont adoré le livre de Messier
Le Figaro Magazine enquêtait sur la passion de Messier pour le piano
Première tragédie pour Messier : pas de douche dans l'avion
L’Express félicitait son propriétaire Jean-Marie Messier
Michel Drucker roucoulait : « Cher Jean-Marie »
Qui déplaisait à Messier était viré par Drucker
Pour Ardisson, impertinence télévisée rimait avec révérence à Messier
Bettina Rheims avait remis la Légion d’honneur à Messier
Mais c’est le « socialiste » Fabius qui avait « légionné » Messier

  

Laurent Joffrin organisait un « débat » entre Philippe Val et Jean-Marie Messier.
Le dessinateur Charb était salarié de Messier
Comme Val, Philippe Sollers rencontrait Messier et se vautrait à ses pieds
Noël Godin, salarié de Messier, calculait ses audaces médiatiques
José Bové débattait avec Messier devant Michel Field
Car Messier courtisait toujours les contestataires
Messier voulait récupérer toute la contestation…
pour faire monter le cours de ses actions
Les intellectuels de marché accouraient quand Messier les sifflait; Le plagiaire servile Alain Minc souhaitait la « réussite » de Messier
Le Monde arrondissait les angles quand Messier se révélait
Touraine, Minc et Messier et s’embrassaient chez ce sot de Pivot
Tous, ils servaient Messier
Messier savait amadouer les puissants
Le Lay recevait une « avalanche de bisous » de Messier
Messier pouvait rudoyer ses laquais
MESSIER ET LES BOUFFONS DE CANAL +
Avant d’être viré, Denis Olivennes léchait Messier
Messier s’accommodait des « Guignols de l’info »
Karl Zéro aimait bien ses partenaires en affaires
Canal invitait son patron
Karl Zéro et Canal + passaient aux aveux
Karl Zéro et CGE-Vivendi (suite)
Karl Zéro vendait son « journal » à Messier
Karl Zéro refusait de critiquer Messier
Daniel Schneidermann léchait les chaussettes de Jean-Marie Messier
Schneidermann jugeait Messier « transparent » !
Une question qui ne fut pas posée