Dossier Messier

 

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Le Point, Le Nouvel Economiste, L’Express et
Europe 1 : tous ont adoré le livre de Messier

Le Point (15.09.2000) a consacré onze pages à un « débat » Minc-Messier (Minc est le principal conseiller de Pinault, propriétaire du Point). Dans Le Nouvel Economiste trois pages sur Messier, également invité par Elkabbach qui le lèchera sur Europe 1 (15.09.2000).

Et n’oublions pas L’Express, propriété de Vivendi.

Trois pages y furent consacrées au livre du patron, dont une critique (non plagiée, paraît-il) de Jacques Attali. Avec une servilité irréprochable, il vanta « l’imagination, le goût du risque, la caractère, le sens moral » de Messier, « un récit passionnant, un livre fort attachant ». Dans le même numéro, un autre socialiste, Claude Allègre avait célébré la « saga joyeuse d’un jeune dirigeant. »

À tous, PLPL décernait sa Laisse d’or (n°1)

Après la déroute de Messier, Jacques Attali accablait dans L’Express (4 juillet 2002) son ancien héros dont il avait flatté le « sens moral » : « Les premières victimes de ce mensonge majeur sont évidemment les actionnaires [ …] Ce n’est pas de transparence dont le marché a besoin, mais de morale ; au moins entre ses maîtres. »

Denis Jeambar, directeur de L’Express (détenu à 100% par Vivendi) montrait davantage d’élégance, saluant son ancien patron déchu, à qui il avait dû sa place de responsable du pôle médias de Vivendi Universal Publishing. Jeambar écrivait dans L’Express (4 juillet 2002) : « Jean-Marie Messier a, sans doute, commis des erreurs en se rêvant maître du monde. Est-il allé trop vite ? A-t-il pris trop de risques ? Peut-être, mais son ambition était à la mesure des défis du monde actuel : la communication est désormais globale et la France ne fera pas partie du « Futur » si aucune de ses entreprises ne joue dans la cour des grands médias planétaires. Messier l’avait compris. Il a emballé le moteur des grandes destinées et bâti un empire à marche forcée avec une ardeur rare. »