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Pierre Carles


 
 

Ni vieux, ni traîtres


 

Dernière maj de cette page : 15/10/10***

Comme à son habitude Pierre Carles a fait plusieurs versions du film qui ont été montrées en projections-débats; un "Ni vieux, ni traîtres (suite et fin)", en montage, devrait sortir en salles de cinéma au deuxième semestre 2011.***

Siné
L'affiche de Siné.

France, 2006, 100 mn. Réalisé par Pierre Carles et Georges Minangoy, produit avec Youssef Charifi et Pages et images.
Avec Joëlle Aubron, Annie Desseaux, Jacques Garcin, Jean Halfen, Gilbert Roth, Jean-Marc Rouillan, Txus.

— Les dates des projections-débats du film étaient consultables sur le site Action-Directe.net.

— Un DVD de NI VIEUX NI TRAÎTRES est sorti en mai 2006, 27 euros port compris auprès de Pages et Images (Bon de souscription, pdf imprimable, 65ko). Cinq euros étaient reversés aux prisonniers politiques d'AD toujours incarcérés.

CRITIQUES

— "Les faucheurs d'OGM sont les héritiers d'Action directe", Métro Marseille, 07/07/2005. un bref entretien avec PC à l'occasion d'une projection.
— Un article de Guillaume Massart sur un premier montage du film, vu le 14/10/2004, a été publié en ligne sur le site FilmDeCulte; « [...] Assumant, comme souvent chez Carles, son esthétique artisanale de DV bricolée, le film délaisse l’impersonnalité du film strictement militant, didactique, et approfondit la méthode déjà éprouvée par Attention danger travail. À savoir un effacement du réalisateur (ici quasi-intégral, sa présence se résumant à quelques rares fragments de voix) au profit de protagonistes iconoclastes et immédiatement sympathiques, dans une ambiance de redistribution des cartes du monde autour d’une bonne bouteille. De vieil argot à la savoureuse texture (les "bracos" affectueusement surnommés "expropriations") en anecdotes tantôt égrillardes, tantôt plus graves, de fous rires en digressions anarcho-philosophiques (on cite Brecht, et son "Que vaut un cambriolage de banque face à la fondation d'une banque?"), le film chemine doucement des petites histoires à la grande. Si le montage présenté n’est pas définitif, l’on peut toutefois noter une évolution dans le style documentaire de Carles. [...] »



  
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